Mairesd’Île-de-France, l’Association des Petites Villes de France, France urbaine, Villes de France et Ville & Banlieue font le choix du dialogue et d’une coopĂ©ration exigeante et constructive avec l’Etat. Avec les propositions que nous formulons, nous sommes prĂȘts Ă  relever le dĂ©fi. Ensemble, ĂȘtre ambitieux pour que chacun se LaConfĂ©rence des Villes, organisĂ©e par l’Association des maires de grandes villes de France, est un Ă©vĂ©nement politique annuel phare depuis 2000. Elle se tient Ă  l’hĂŽtel de ville de Paris, depuis 2008, sur un thĂšme d’actualitĂ© urbaine dans l’esprit de faire progresser l’innovation et la solidaritĂ© des territoires. Cette manifestation de rĂ©fĂ©rence des acteurs de l’urbain Lemaire de TrĂšbes, reprĂ©sentant des maires de l'Aude, rencontrera ce mardi 23 aoĂ»t le ministre de la transition Ă©cologique et de la cohĂ©sion des territoires. Christophe BĂ©chu LAssociation des maires de grandes villes de France (AMGVF) est une association française créée en 1974 qui regroupe les villes et les regroupements de communes dont la population dĂ©passe les 100 000 habitants. Elle est membre de la Maison europĂ©enne des pouvoirs locaux français. Property Value; dbpedia-owl:abstract: L'Association des maires de JeanLuc Moudenc a Ă©tĂ© Ă©lu ce mardi prĂ©sident de l'association qui regroupe les maires des villes de plus de 100.000 habitants. Il succĂšde au socialiste Michel Destot, ancien maire de Grenoble. Associationdes maires des grandes villes de France Association des maires des grandes villes de France. Paris: Activities of Association des maires de grandes villes de France (12 resources in data.bnf.fr) Textual works (9) La mĂ©diation, entre prĂ©vention et rĂ©pression, rĂ©inventer la relation de proximitĂ© (2003) ###with Association des maires de grandes villes de France Commentaires. Transcription . ASSOCIATION DES MAIRES DE GRANDES VILLES DE FRANCE MichelDestot, dĂ©putĂ©-Maire de Grenoble a Ă©tĂ© Ă©lu le 13 septembre 2007, prĂ©sident de l'Association des Maires de Grandes Villes de France. Il succĂšde Ă  Jean-Marie Bockel, Maire de Mulhouse, dĂ©missionnaire de la prĂ©sidence de l'Association en raison de sa nomination de SecrĂ©taire d'Etat auprĂšs du Ministre des Affaires Ă©trangĂšres et europĂ©ennes, Ilest le rĂ©sultat d’un travail commun, une vĂ©ritable coproduction Ă  huit : Association des maires de France (AMF), AssemblĂ©e des communautĂ©s de France (ADCF), Association des maires de grandes villes de France (AMGVF), Association des maires ruraux de France (AMRF), Association des petites villes de France (APVF), FĂ©dĂ©ration des entreprises publiques Ilest le rĂ©sultat d’un travail commun, une vĂ©ritable coproduction Ă  huit : Association des maires de France (AMF), AssemblĂ©e des communautĂ©s de France (ADCF), Association des maires CzeLN. Hier soir, j’ai prĂ©sentĂ© les voeux de l’AMGVF en prĂ©sence de 300 personnes dont une dizaine de Maire de grandes villes et prĂ©sidents d’associations nationales d’élus locaux. Ce fut notamment l’occasion pour moi de prĂ©senter en exclusivitĂ© l’étude PIB des grandes villes qui est une premiĂšre du genre et d’annoncer qu’en 2012 les Maires sont determinĂ©s Ă  se battre en faveur de l’emploi, Ă  travers notamment la promotion de politiques fiscales plus justes et plus favorables au dĂ©veloppement Ă©conomique. J’ai Ă©galement lancĂ© l’Observatoire de la France urbaine, outil chargĂ© de quantifier le rĂŽle Ă©conomique des territoires urbains. Cette Ă©tude, pionniĂšre sur le rĂŽle Ă©conomique des grandes villes et agglomĂ©rations, est rĂ©alisĂ©e en partenariat avec la Caisse d’Epargne. Pour la premiĂšre fois, cette Ă©tude Ă©value leur PIB, dĂ©passant les travaux de l’INSEE qui n’évalue Ă  ce jour que les PIB rĂ©gionaux. L’étude met Ă©galement l’accent sur la redistribution de la richesse créée si la ville est crĂ©atrice de richesse, elle la redistribue largement. Cette Ă©tude, rendue possible grĂące aux simulations des pouvoirs publics rĂ©alisĂ©es dans le cadre de la rĂ©forme de la taxe professionnelle, fera date dans le champ de l’économie territoriale. PrĂšs de 50 % de la valeur ajoutĂ©e VA en France est effectuĂ©e sur le territoire des grandes agglomĂ©rations. C’est le principal enseignement de l’étude RĂŽle Ă©conomique des grandes villes et agglomĂ©rations » rĂ©alisĂ©e par l’AMGVF, en partenariat avec la Caisse d’Epargne. Selon l’étude, les VA par habitant des territoires urbains sont comprises entre 20 000 et 55 000 euros hors Paris, dont la VA est Ă©valuĂ©e Ă  80 000 euros, pour une moyenne de 37 600 euros, alors que la moyenne France entiĂšre est Ă©valuĂ©e Ă  30 600 euros par habitant. Ces chiffres montrent que le rĂŽle Ă©conomique des grandes villes est considĂ©rable. Il induit une double responsabilitĂ© assurer un dĂ©veloppement vital pour l’ensemble de l’économie nationale, et participer au processus de rĂ©partition de la valeur créée, tant en termes de fiscalitĂ© nationale que locale, de façon Ă©quitable eu Ă©gard Ă  leurs charges. Le deuxiĂšme enseignement de cette Ă©tude porte sur la rĂ©partition de la richesse créée dans les grandes villes. La valeur ajoutĂ©e des territoires n’induit nullement que les habitants de ces territoires ou leurs collectivitĂ©s arrivent Ă  conserver l’essentiel des valeurs produites, car de nombreux et puissants transferts sont Ă  l’Ɠuvre. Il apparaĂźt clairement que la richesse créée dans les grandes villes ne reste pas dans les territoires Ă©metteurs. Le vecteur le plus important est reprĂ©sentĂ© par les impĂŽts impĂŽts sur le revenu et fiscalitĂ© locale qui sont supĂ©rieurs dans les zones crĂ©atrices de richesse et viennent alimenter l’ensemble des budgets publics Etat, sĂ©curitĂ© sociale, transferts vers toutes les collectivitĂ©s. En terme de fiscalitĂ© sur le revenu, on peut noter que la sur-imposition des mĂ©nages dans les grandes villes est de l’ordre de 15 % en moyenne. Pourtant, les revenus sont largement infĂ©rieurs aux VA Ă©valuĂ©es, montrant qu’ils ne sont pas complĂštement localisĂ©s. En fait, ils sont trĂšs resserrĂ©s entre 10 000 et 12 000 euros par habitant. En d’autres termes, cette Ă©tude montre que la ville est crĂ©atrice de richesse, pour partie conservĂ©e, mais trĂšs largement redistribuĂ©e. Ces enseignements illustrent la nĂ©cessitĂ© de trouver un Ă©quilibre entre une production Ă©conomique qui doit rester dynamique et la redistribution territoriale des richesses. Depuis ce matin, le rendez-vous annuel incontournable des dĂ©cideurs urbains, la ConfĂ©rence des Villes se tient Ă  l’HĂŽtel de Ville de Paris, sur le thĂšme La RĂ©publique des territoires ». Cet Ă©vĂšnement est l’occasion pour les Ă©lus urbains,de prendre pleinement part aux dĂ©bats d’actualitĂ© portant sur la rĂ©forme territoriale, la baisse des dotations aux collectivitĂ©s locales et l’avenir Ă©nergĂ©tique de notre pays. Des ateliers autour des questions suivantes RĂ©gions et mĂ©tropoles, quelles rĂšgles du jeu ? N’y a-t-il que les mĂ©tropoles dans les territoires ? L’économie circulaire, un nouveau modĂšle Ă©conomique ? Quels financements pour la transition Ă©nergĂ©tique ? Baisse des dotations casser la croissance et les services publics ? Quel algorithme pour la ville de demain ? Parmi les intervenants Anne Hidalgo, maire de Paris, Jean-Luc Moudenc, prĂ©sident de l’Association des Maires de Grandes Villes de France, maire de Toulouse et prĂ©sident de Toulouse MĂ©tropole, Jean-Louis Fousseret, 1er vice-prĂ©sident de l’AMGVF, maire de Besançon et prĂ©sident de la CA du Grand Besançon, AndrĂ© Rossinot, secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral de l’AMGVF, prĂ©sident de la CU du Grand Nancy et ancien ministre, Michel Destot, prĂ©sident d’honneur de l’AMGVF, dĂ©putĂ© de l’IsĂšre, Nathalie AppĂ©rĂ©, dĂ©putĂ©e-maire de Rennes, Christian Estrosi, dĂ©putĂ©-maire de Nice et prĂ©sident de la MĂ©tropole de Nice CĂŽte d’Azur
 
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 >TĂ©lĂ©charger le prĂ©-programme ici >Source >De Leblogdesinstitutionnels Mon profil Google Ma bio en rĂ©sumĂ© La maire de Paris est sur le point de se dĂ©clarer candidate Ă  sa succession. Mais Anne Hidalgo est loin d'ĂȘtre la seule dans ce cas. Si l'on prend les maires des 20 plus grandes villes de France, en nombre d'habitants, seize d'entre eux seront sur la ligne de dĂ©part en mars aux plus grandes villes de France sont souvent celles dont on parle beaucoup avant un scrutin. Mais aux municipales de mars, les surprises ne viendront peut-ĂȘtre pas de lĂ . En effet, dans la plupart de ces communes, les sortants sont candidats Ă  leur succession. A Paris, Anne Hidalgo va annoncer son intention d'y retourner dans quelques heures. Or, l'Ă©lection municipale est "la plus stable de la Ve RĂ©publique", comme le rĂ©pĂšte le directeur gĂ©nĂ©ral adjoint de l'Ifop, FrĂ©dĂ©ric Dabi. Il existe en effet une "prime aux sortants". A presque deux mois de l'Ă©chĂ©ance Ă©lectorale, seuls quatre maires sortants - Ă  Marseille, Lyon, Strasbourg et Villeurbanne - des 20 plus grandes villes en nombre d'habitants ont fait part de leur intention de passer la main. Outre Hidalgo, trois autres doivent encore officialiser une candidature qui ne fait plus vraiment de doute. Les candidats ont jusqu'au 27 fĂ©vrier pour dĂ©poser leurs listes. 1. A Paris, dĂ©claration imminente pour Anne HidalgoElle va officialiser sa candidature dans les prochaines heures. Depuis des mois, la maire socialiste sortante - son entourage surtout - prĂ©pare activement son entrĂ©e en campagne. "Paris en commun", la plateforme de soutien Ă  Anne Hidalgo, prĂ©sidĂ©e par son adjoint Jean-Louis Missika, a dĂ©jĂ  prĂ©sentĂ© ses tĂȘtes de listes d'arrondissement. Elle a aussi reçu le soutien de GĂ©nĂ©rations, de Place publique, du Parti communiste, ainsi que de certaines personnalitĂ©s comme Audrey Pulvar ou le prĂ©sident du Samu social de Paris, Eric Pliez, d'ailleurs tĂȘte de liste dans le 20e arrondissement. Face Ă  Anne Hidalgo, les candidats sont nombreux Benjamin Griveaux LREM, CĂ©dric Villani dissident LREM, Rachida Dati LR, David Belliard EELV, Danielle Simonnet et Vikash Dhorasoo "DĂ©cidons Paris" avec LFI, le centriste Pierre-Yves Bournazel, la liste soutenue par le Rassemblement national de Serge Federbusch, l'ex-conseiller communication de François Hollande, Gaspard Gantzer, ou encore le forain Marcel aussi - Emmanuel GrĂ©goire "Hidalgo annoncera l'extension de la gratuitĂ© des transports pour les moins de 18 ans"2. A Marseille, Jean-Claude Gaudin passe la mainMaire depuis 1995, Jean-Claude Gaudin Les RĂ©publicains ne sera pas sur la ligne de dĂ©part en mars. Son parti a dĂ©signĂ© Martine Vassal, prĂ©sidente de la mĂ©tropole Aix-Marseille-Provence et du dĂ©partement des Bouches-du-RhĂŽne, pour tenter de lui succĂ©der. Elle a Ă©tĂ© prĂ©fĂ©rĂ©e Ă  Bruno Gilles sĂ©nateur et prĂ©sident de l'influente fĂ©dĂ©ration des Bouches-du-RhĂŽne des RĂ©publicains. Ce dernier a toutefois dĂ©cidĂ© de "poursuivre sa campagne".Les autres candidats dĂ©clarĂ©s SĂ©bastien Barles pour EELV, le sĂ©nateur RN StĂ©phane Ravier et l'Ă©cologiste MichĂšle Rubirola tĂȘte de liste du Printemps Marseillais, une liste d'union de la gauche allant du PS aux Insoumis. Du cĂŽtĂ© d'En marche, les choses ont mis du temps Ă  se mettre en place. C'est finalement l'ancien prĂ©sident de l'universitĂ© d'Aix-Marseille, Yvon Berland, qui a Ă©tĂ© choisi. Mais la sĂ©natrice Samia Ghali, en rupture avec le PS, s'imagine aussi en "Madone" rassembleuse. 3. A Lyon, GĂ©rard Collomb a choisi la mĂ©tropole plutĂŽt que la villeIl avait repris ses fonctions fin 2018 aprĂšs sa dĂ©mission du gouvernement. Mais s'il est candidat Ă  la mĂ©tropole, GĂ©rard Collomb LREM ne briguera finalement pas la mairie. Fin dĂ©cembre, il a adoubĂ© l'un de ses adjoints, l'ancien gymnaste Yann Cucherat, 40 ans, qui incarne, selon lui, le "renouvellement". Un choix pas encore officiellement validĂ© par la commission nationale d'investiture du parti. Egalement candidat Georges KĂ©pĂ©nĂ©kian, l'actuel premier adjoint Ă  qui GĂ©rard Collomb avait laissĂ© les rĂȘnes lors de son entrĂ©e en gouvernement en 2017 ; mais aussi Etienne Blanc LR, Sandrine Runel PS, GrĂ©gory Doucet EELV et AgnĂšs Marion RN et Nathalie Perrin-Gilbert DVG soutenue par LFI.Reste une question. En cas de dĂ©faite Ă  la mĂ©tropole face Ă  David Kimelfeld et l'Ă©cologiste Bruno Bernard notamment, GĂ©rard Collomb pourrait-il se rabattre sur la ville si son nom figure sur la liste de Yann Cucherat en position Ă©ligible pour intĂ©grer le conseil municipal?4. A Toulouse, Jean-Luc Moudenc y retourne avec le soutien de LR et de LREMLe sortant Jean-Luc Moudenc LR, qui, comme en 2014, n'avait sollicitĂ© l'investiture d'aucun parti, a reçu le soutien des RĂ©publicains, mais aussi d'En marche. Ces derniers mois, il avait pris ses distances avec son parti lorsqu'il Ă©tait dirigĂ© par Laurent Wauquiez, tout en affichant sa proximitĂ© avec le Premier ministre, Edouard Philippe. Jean-Luc Moudenc n'a toutefois pas le soutien du MoDem, qui lui a prĂ©fĂ©rĂ© la liste "Toulouse belle et forte", menĂ©e par Franck Biasotto, actuel adjoint au maire en charge du Logement et adhĂ©rent LREM. "Je prends mes responsabilitĂ©s, les instances de LREM prendront les leurs", a-t-il dĂ©clarĂ© Ă  propos d'une Ă©ventuelle candidats le conseiller municipal Ă©cologiste Antoine Maurice avec le collectif Archipel citoyen soutenu par EELV et La France Insoumise ; Nadia Pellefigue, vice-prĂ©sidente de la rĂ©gion Occitanie PS, avec le soutien du PCF. Et l'ex-maire de la Ville rose Pierre Cohen GĂ©nĂ©rations, ex-PS, qui estime ĂȘtre "le seul" Ă  pouvoir faire le lien entre ces deux listes et "faire gagner la gauche".Lire aussi - Toulouse 4 raisons qui expliquent le soutien d'En marche au maire LR Jean-Luc Moudenc5. A Nice, le chemin est dĂ©gagĂ© pour Christian Estrosi Mi-novembre, le dĂ©putĂ© LR Eric Ciotti annonçait renoncer Ă  ĂȘtre candidat Ă  la mairie de Nice l'an prochain contre le maire sortant, LR lui aussi, Christian Estrosi, qu'il critiquait pourtant avec virulence depuis 2017. Ce dernier - qui n'a pas encore officiellement fait acte de candidature - a dans la foulĂ©e Ă©tĂ© investi par son parti. Le maire sortant devrait Ă©galement recevoir le soutien d'En marche, qui n'a pas d'autre "offre forte" sur Nice, selon un cadre de la majoritĂ©. Ou au moins, ne pas avoir de candidat LREM face Ă  lui en mars prochain. De quoi ouvrir la voie Ă  sa réélection. Face Ă  lui, il retrouvera entre autres le candidat du Rassemblement national, Philippe A Nantes, Johanna Rolland brigue un second mandatHĂ©ritiĂšre de l'emblĂ©matique Jean-Marc Ayrault, Johanna Rolland avait Ă©tĂ© Ă©lue Ă  l'Ăąge de 34 ans Ă  la tĂȘte de la sixiĂšme ville de France, qui compte plus de habitants. La maire sortante prĂ©pare activement sa réélection, incitant notamment les Nantais "Ă  phosphorer collectivement" en s'exprimant sur l'avenir de la Rolland fera face Ă  trois autres femmes sur le chemin de son Ă©ventuelle réélection la dĂ©putĂ©e LREM ValĂ©rie Oppelt, l'Ă©cologiste Julie Laernoes et Laurence Garnier pour Les RĂ©publicains. 7. A Montpellier, Philippe Saurel devrait y aller mais prend son tempsLe sortant n'a pas encore fait acte de candidature. OpĂ©rĂ© du genou en ce dĂ©but d'annĂ©e, Philippe Saurel ne devrait s'exprimer qu'en fĂ©vrier. "J’ai trop mal. Actuellement, je ne suis qu’à 30%", avait-il expliquĂ©. Un temps Ă©voquĂ©, Philippe Saurel - Ă©lu par surprise dans une quadrangulaire, aprĂšs ĂȘtre entrĂ© en dissidence du PS - n'a pas reçu le soutien de LREM pour ce scrutin. Le parti majoritaire a choisi d'investir le dĂ©putĂ© Patrick Vignal, qui a coiffĂ© un poteau l'entrepreneur Mohed Altrad. Parmi les autres candidats MichaĂ«l Delafosse PS-PCF, Clothilde Ollier EELV, Alex Larue LR-UDI ou encore le mouvement citoyen "Nous Sommes" avec le soutien du comitĂ© Ă©lectoral national LFI.8. A Strasbourg, Roland Ries ne se reprĂ©sente pasC'est l'une des rares grandes villes de France oĂč le sortant n'y retourne pas. Qui succĂ©dera au socialiste Roland Ries, Ă  la tĂȘte de Strasbourg reprise Ă  la droite en 2008 Fabienne Keller a dirigĂ© la ville de 2001 Ă  2008? L'Ă©quipe municipale sortante est divisĂ©e d'un cĂŽtĂ©, le premier adjoint Alain Fontanel a Ă©tĂ© investi par La RĂ©publique en marche et de l'autre, l'adjoint Mathieu Cahn par le Parti socialiste. Ce dernier a reçu le soutien de l'ancienne maire PS de Strasbourg Catherine Trautmann 1989-1997 et 2000-2001. Il faudra aussi compter sur Jeanne Barseghian EELV, Jean-Philippe Vetter LR et Hombeline du Parc RN.9. A Bordeaux, Nicolas Florian veut poursuivre l'aprĂšs-JuppĂ©Il est le maire sortant, mais n'est Ă  la tĂȘte de la ville que depuis mars 2019. Avant cela, Nicolas Florian LR Ă©tait le deuxiĂšme adjoint d'Alain JuppĂ©, qui est depuis entrĂ© au Conseil constitutionnel. En 2014, il n'a donc pas Ă©tĂ© Ă©lu sur son nom, et le scrutin de mars 2020 sera une premiĂšre pour lui. En marche a de son cĂŽtĂ© choisi d'investir Thomas Cazenave, ce qui en avait agacĂ© plus d'un. Dans une interview au JDD en septembre, Nicolas Florian critiquait la "logique partisane et clanique" de LREM. Surtout que Nicolas Florian pourrait rencontrer plus de difficultĂ©s que prĂ©vu pour conserver son fauteuil de maire dans les sondages, il est talonnĂ© par l'Ă©cologiste Pierre Hurmic, alliĂ© Ă  la gauche. Ce dernier porte une liste soutenue par EELV, le PS, le PCF, le PRG, GĂ©nĂ©rations, Nouvelle donne et Place publique. Thomas Cazenave pourrait bien faire figure d'arbitre. 10. A Lille, Martine Aubry brigue un quatriĂšme mandatLe suspense n'en Ă©tait plus vraiment un, mais Martine Aubry a officialisĂ© fin novembre sa candidature Ă  un quatriĂšme mandat. La socialiste, Ă  la tĂȘte de Lille depuis 2001, devra affronter son ancienne directrice de cabinet Violette Spillebout LREM, StĂ©phane Bally EELV qui siĂšge dans la majoritĂ© municipale, Julien Poix LFI, Eric Cattelin-Denu RN et le divers droite Thierry Pauchet, chef de file de l'opposition lilloise qui conteste le choix des instances nationales des RĂ©publicains qui ont investi l'ancien ministre Marc-Philippe A Rennes, Nathalie AppĂ©rĂ© est candidate Ă  sa successionLa maire sortante socialiste Nathalie AppĂ©rĂ© a officialisĂ© dĂšs la mi-septembre sa candidature aux municipales, affirmant regretter que les Ă©cologistes, alliĂ©s depuis six ans, partent en campagne de leur cĂŽtĂ©. Chez EELV, le conseiller municipal Matthieu Theurier conduira la liste. De son cĂŽtĂ©, LREM a investi l'ex-PS Carole Gandon et LFI a annoncĂ© son intention de prĂ©senter une liste sĂ©parĂ©e, tandis que le Rassemblement national a investi le conseiller rĂ©gional Emeric A Reims, Arnaud Robinet sera sur la ligne de dĂ©partC'est mi-dĂ©cembre que le maire sortant LR, Arnaud Robinet, a annoncĂ© ĂȘtre candidat Ă  sa succession. En 2014, il avait ravi la ville Ă  la socialiste Adeline Hazan, aujourd'hui contrĂŽleure gĂ©nĂ©rale des lieux de privation de libertĂ©. Son soutien affirmĂ© aux europĂ©ennes Ă  François-Xavier Bellamy LR l'a privĂ© d'un Ă©ventuel rapprochement avec En marche. A Reims, LREM avait investi dĂšs le mois de juin l'avocat GĂ©rard Chemla, qui s'est illustrĂ© ces derniĂšres annĂ©es dans l'affaire Vincent Lambert en dĂ©fendant son neveu François, favorable Ă  l'arrĂȘt des traitements. Arnaud Robinet retrouvera aussi face Ă  lui le socialiste Eric Quenard, ancien adjoint d'Adeline Hazan, une liste Ă©cologiste, ainsi que le collectif Insoumis "Reims en commun 2020-2026". 13. A Saint-Etienne, GaĂ«l Perdriau se prĂ©sente Ă  un second mandatGaĂ«l Perdriau, maire LR, a annoncĂ© mi-octobre qu'il briguerait un second mandat pour diriger cette ville. L'Ă©lue municipale du MoDem Siham Labich avait indiquĂ© rester "fidĂšle au maire sortant en dĂ©pit de l'alliance du MoDem avec LREM au niveau national". GaĂ«l Perdriau avait repris la ville en 2014 au sĂ©nateur-maire PS Maurice Vincent, avec le soutien de l'UMP et de l'UDI. Saint-Etienne avait basculĂ© Ă  gauche en 2008 aprĂšs 25 ans de rĂšgne de la RĂ©publique en marche a quant Ă  elle annoncĂ© son soutien Ă  une liste conduite par l'ancien footballeur Patrick Revelli non-inscrit. Pour le PS et le PCF, ce sera le conseiller municipal d'opposition Pierrick Courbon. Il y aura aussi le candidat EELV Olivier Longeon et une liste du Au Havre, Jean-Baptiste Gastinne est candidat, en attendant Edouard PhilippeIl est maire depuis peu Jean-Baptiste Gastinne LR a Ă©tĂ© Ă©lu maire du Havre en mars, lors d'un conseil municipal extraordinaire, en remplacement de Luc Lemonnier, contraint Ă  la dĂ©mission aprĂšs la diffusion de photos de lui nu par une femme qui se dit victime de ses avances. Il sera candidat en mars. Sauf... "Si Edouard Philippe fait part de son intention de revenir au Havre pour conduire la liste, je serai le premier Ă  me ranger derriĂšre lui", assure l'Ă©dile sortant. Le Premier ministre, qui ne cesse de rappeler son attachement Ă  cette ville, laisse planer le doute et doit dire fin janvier s'il y va ou fonction de cette dĂ©cision, la dĂ©putĂ©e AgnĂšs Firmin-Le Bodo UDI pourrait se lancer. Candidat dĂ©clarĂ©, le dĂ©putĂ© communiste Jean-Paul Lecoq a tentĂ© de mettre en place une union des gauches, sans convaincre pour l'heure ni les Verts, ni La France insoumise, ni le A Toulon, la candidature d'Hubert Falco ne fait guĂšre de douteIl n'a pas encore officialisĂ© sa candidature Ă  un nouveau mandat, mais Ă  72 ans, Hubert Falco LR, qui est maire depuis 2001, pourrait de nouveau y aller. En 2014, il est - aprĂšs Alain JuppĂ© - celui qui avait Ă©tĂ© le mieux Ă©lu dans les 40 villes de plus de habitants avec 59,27% des voix. LREM a investi la dĂ©putĂ©e CĂ©cile Muschotti ; la liste du Rassemblement national, arrivĂ©e en tĂȘte dans la ville aux europĂ©ennes, sera emmenĂ©e par Amaury Navaranne. A gauche, le conseiller municipal d'opposition et Ă©cologiste Guy Rebec conduira la liste "Toulon en commun" EELV, PS, PCF, GĂ©nĂ©rations, Nouvelle donne.16. A Grenoble, Eric Piolle se reprĂ©sente Ă  la tĂȘte d'une union gauche-Ă©coloLe maire sortant Eric Piolle EELV, qui a annoncĂ© mi-septembre ĂȘtre candidat Ă  sa succession, poursuit le rassemblement de la gauche et des Ă©cologistes. Son mouvement "Grenoble en commun" regroupe dĂ©sormais LFI, GĂ©nĂ©ration Ecologie, GĂ©nĂ©rations, une poignĂ©e de militants PS, Place publique, Nouvelle Donne, le PCF et le RĂ©seau citoyen. En octobre, un sondage Odoxa pour France Info le plaçait largement en tĂȘte. Eric Piolle affrontera le candidat de la droite Alain Carignon - ancien maire de Grenoble condamnĂ© en 1996 pour corruption - ; la dĂ©putĂ©e Emilie Chalas pour LREM ; et Olivier Noblecourt, ancien adjoint au maire PS Michel Destot 1995-2014. L'horizon reste bouchĂ© pour les RĂ©publicains, toujours sans candidat dĂ©signĂ©, comme pour l'extrĂȘme droite, qui prĂ©sentera deux listes l'une investie par le RN et l'autre A Dijon, François Rebsamen doit dire ce qu'il en estFrançois Rebsamen, qui dirige la ville depuis 2001, n'a pas encore annoncĂ© officiellement son choix. Il devait le faire aprĂšs les fĂȘtes de fin d'annĂ©e, on y est. "J'ai l'Ă©nergie et les projets pour ĂȘtre de nouveau candidat", dĂ©clarait le socialiste mi-novembre dans Le Bien Public. S'il y va, il trouvera face Ă  lui l'ex-PS Sylvain Comparot LREM-UDI, son adjointe StĂ©phanie Modde EELV, Emmanuel Bichot LR, Damien Cantin RN. Partie prenant de la majoritĂ© sortante, le MoDem, pourtant partenaire de LREM au niveau national, pourrait renouveler son alliance avec le maire sortant. 18. A Angers, Christophe BĂ©chu se reprĂ©sente avec le soutien d'En marcheLe maire d'Angers Christophe BĂ©chu divers droite, qui a quittĂ© Les RĂ©publicains fin 2017, Ă©tait Ă  l'initiative d'une tribune de 72 Ă©lus locaux de droite et du centre apportant leur soutien Ă  Emmanuel Macron, publiĂ©e en juin dans le JDD. LREM lui a finalement accordĂ© son soutien fin gauche, les discussions ont Ă©chouĂ© et il y aura trois listes au premier tour celle du rassemblement EELV, Nouvel Ă©lan et le PCF ; "Aimer Angers" qui rĂ©unit le Parti socialiste et Place publique ; et celle de la France A NĂźmes, Jean-Paul Fournier, 74 ans, y va et se dit "en pleine forme"A 74 ans, Jean-Paul Fournier LR a annoncĂ© en dĂ©cembre son souhait de briguer un quatriĂšme mandat. "Je suis en pleine forme et si je suis réélu je ferai un mandat complet", a-t-il assurĂ©. Sur sa route, il retrouvera son ancien premier adjoint Yvan Lachaud, devenu prĂ©sident de l’agglomĂ©ration et soutenu par LREM et du MoDem. Mais aussi le socialiste JĂ©rĂŽme Puech, l'Ă©cologiste et ancien prĂ©sident de WWF France Daniel Richard EELV, PS, LFI, GĂ©nĂ©ration Ă©cologie, PRG, une liste du PCF ou encore Yoann Gillet RN. 20. A Villeurbanne, Jean-Paul Bret tourne la page Le maire sortant, le socialiste Jean-Paul Bret PS, a annoncĂ© dĂšs juin 2019 qu'il ne briguerait pas un nouveau mandat. Quelle formation rĂ©cupĂ©rera donc cette ville en mars? Le premier adjoint actuel, Prosper Kabalo, portera les couleurs de LREM ; le PS a investi CĂ©dric Van Styvendael, ex-directeur de l'office HLM de l'Est de la mĂ©tropole de Lyon qui prĂ©side la FĂ©dĂ©ration europĂ©enne du logement social. Marc Attalah portera les couleurs de LR. Mais Villeurbanne est l'une des grandes villes qu'EELV estime avoir le plus de chance de conquĂ©rir. La liste Ă©cologiste est portĂ©e par la conseillĂšre municipale d'opposition BĂ©atrice Vessiller, ancienne adjointe de Jean-Paul Bret. DĂ©jĂ  candidate en 2014, elle avait terminĂ© quatriĂšme, derriĂšre le PS, l'UMP et le FN.

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