17101721 : au cours de la grande guerre du Nord, le tsar Pierre le Grand ravage la Finlande méridionale et annexe la Carélie à la Russie. 1809 : la Suède cède la Finlande à la Russie, qui en fait un territoire autonome : le grand-duché russe de Finlande. Une politique de russification est menée par le tsar Alexandre III. Son successeur
Lefinancement du transport collectif figure sans surprise dans la liste de la CMM, qui rappelle, dans le document exhaustif qui recense toutes ses demandes pour l'élection 2022 (Nouvelle
Ledécoupage d'une circonscription ne répond donc à aucune règle stricte, en dehors de celle du nombre d'habitants qui doit, à plus ou moins 20% près, être de 125 000 personnes. Sur
revientà la liste qui a obtenu le plus grand nombre de suffrages. En cas d’égalité de suffrages, le siège est attribué au plus âgé des candidats susceptibles d’être proclamés élus. Exemples Les exemples de calcul sont issus d’une circulaire du ministère de l’Intérieur datant de 2001. Les modalités n’ont pas changé
Siles élections européennes de 2019 ont été une surprise avec une participation plus élevée qu'en 2014, (50,66% en 2019, représentant une
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Seulspeuvent s'y présenter les deux candidats qui, le cas échéant après retrait de candidats plus favorisés, se trouvent avoir recueilli le plus grand nombre de suffrages au premier tour 9 .
Lélaboration du questionnaire est une phase très importante du sondage. La qualité du questionnaire conditionne largement la pertinence de l’enquête. Or l’art de poser de bonnes questions, dans des termes intelligibles au plus grand nombre, est difficile. Certains sondages pêchent par une formulation trop complexe qui égare les
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Aprèsavoir récolté 18,68% des suffrages exprimés au premier tour des élections législatives, le RN espérait emmener le plus grand nombre de
6fqwI9i. Au cours d’un mandat d’élu titulaire ou suppléant au CSE, certains événements peuvent les empêcher de remplir leurs fonctions de représentants du personnel, notamment en cas d’absence lors d’une réunion du CSE. Il peut s'agir d'un empêchement temporaire congés payés, arrêt maladie ou d'un empêchement définitif démission du mandat d'élu, départ de l’entreprise. Pour que l'instance puisse continuer à fonctionner, Il est nécessaire d'assurer leur remplacement. Or, depuis l’ordonnance n°2017-1386 du 22 septembre 2017, les membres suppléants du CSE ne peuvent plus assister automatiquement aux réunions du CSE, sauf dispositions contraires prévues par le règlement intérieur et sauf exception en cas d’absence momentanée d’un membre titulaire du CSE. Régulièrement, la question relative aux règles de suppléance est posée aux équipes de NosDroits Je serai en congé lors de la prochaine réunion, qui peut me remplacer ? » Je suis titulaire et mon suppléant sera également absent, qui peut me suppléer ? ». Il convient de rappeler que la loi a prévu trois règles de remplacement des membres titulaires du CSE art. L2314-37 du code du travail qui doivent être appliquées précisément dans cet ordre Règle n°1 L’élu titulaire est remplacé par un suppléant élu sur une liste présentée par la même organisation syndicale que celle du titulaire la priorité est donnée au suppléant élu de la même catégorie professionnelle. En l’absence de suppléant de la même catégorie, l’élu suppléant est choisi dans une autre catégorie mais dans le même collège. A défaut, il est possible de désigner un suppléant élu dans un autre collège. Règle n°2 S'il n'existe pas de suppléant élu sur une liste présentée par l'organisation syndicale qui a présenté le titulaire, le remplacement est assuré par un candidat non élu présenté par la même organisation syndicale le candidat retenu est celui qui vient sur la liste immédiatement après le dernier titulaire ou, à défaut, le dernier élu suppléant. Règle n°3 Si les règles n°1 et 2 ne peuvent pas s’appliquer, le remplacement est assuré par le suppléant élu n'appartenant pas à l'organisation du titulaire à remplacer mais appartenant à la même catégorie et ayant obtenu le plus grand nombre de voix. Si malgré les règles de suppléances, aucun suppléant n’est trouvé, alors le siège reste vacant. Ces règles sont d’ordre public, aucune formalité n’est nécessaire pour la mettre en œuvre. Le suppléant bénéficiera des mêmes droits que son remplaçant vote, heure de délégation. Le suppléant devient titulaire jusqu'au retour de celui qu'il remplace. En cas de cessation définitive des fonctions du titulaire, le suppléant deviendra titulaire pour le reste du mandat à courir. Si la délégation du personnel au CSE devient trop réduite en cas de départ définitif d’élus, l’employeur devra organiser des élections partielles, afin de faire élire de nouveaux représentants. Le code du travail impose à l’employeur d’organiser des élections partielles Si un collège électoral n’est plus représenté ou si le nombre des membres titulaires de la délégation du personnel du CSE est réduit de moitié ou plus. Sauf si ces événements interviennent moins de 6 mois avant le terme du mandat des membres de la délégation du personnel du CSE. Les candidats sont élus pour la durée du mandat restant à courir art. L2314-10 du code du travail. En revanche, l’employeur ne peut pas décider d’organiser des élections partielles si ces conditions ne sont pas réunies Cass. Soc, 30 novembre 2011 n° Retrouvez cet article et toutes les actualités sur l’application NosDroitsByTechnologia / Revenir au blog
français arabe allemand anglais espagnol français hébreu italien japonais néerlandais polonais portugais roumain russe suédois turc ukrainien chinois anglais Synonymes arabe allemand anglais espagnol français hébreu italien japonais néerlandais polonais portugais roumain russe suédois turc ukrainien chinois ukrainien Ces exemples peuvent contenir des mots vulgaires liés à votre recherche Ces exemples peuvent contenir des mots familiers liés à votre recherche Traduction - dopée à l'IA Zut ! Nous n'avons pas pu récupérer les informations. Nous travaillons pour résoudre ce problème au plus vite. remporte un moins grand nombre Traduction de voix et de textes plus longs Lors de l'élection de 1925, le Parti libéral du premier ministre William Lyon Mackenzie King remporte un moins grand nombre de sièges aux communes que le Parti conservateur d'Arthur Meighen. In the 1925 federal election, Prime Minister William Lyon Mackenzie King's Liberal Party of Canada won fewer seats in the House of Commons of Canada than the Conservatives of Arthur Meighen. Lors de l'élection de 1925, le Parti libéral du premier ministre William Lyon Mackenzie King remporte un moins grand nombre de sièges aux communes que le Parti conservateur d'Arthur Meighen. Lors de l'élection de 1925, le Parti libéral du premier ministre William Lyon Mackenzie King remporte un moins grand nombre de sièges aux communes que le Parti conservateur d'Arthur Meighen. In the 1925 federal election, Prime Minister William Lyon Mackenzie King's Liberal Party of Canada won fewer seats in the Canadian House of Commons than the Conservative Party of Arthur Meighen. Lors de l'élection de 1925, le Parti libéral du premier ministre William Lyon Mackenzie King remporte un moins grand nombre de sièges aux communes que le Parti conservateur d'Arthur Meighen. Richard Bedford Bennett's Conservative Party won a majority government, defeating the Liberal Party led by Prime Minister William Lyon Mackenzie King. Aucun résultat pour cette recherche. Résultats 7443741. Exacts 4. Temps écoulé 1999 ms. Documents Solutions entreprise Conjugaison Synonymes Correcteur Aide & A propos de Reverso Mots fréquents 1-300, 301-600, 601-900Expressions courtes fréquentes 1-400, 401-800, 801-1200Expressions longues fréquentes 1-400, 401-800, 801-1200
Avec 66,72% d'abstention, une majorité de Français ne se sont pas exprimés dimanche lors de ces élections locales. L'abstention progresse une nouvelle fois. En 2015, au premier tour des élections régionales, elle s'était élevée à 50,09%, selon les résultats définitifs. En 2010, elle se situait à 53,67%, et en 2004 à 39,16%. Cette année, l'abstention atteint 66,72%, selon les données du ministère de l'Intérieur. Ce scrutin local avait pourtant un avant-goût d'élection présidentielle, mais les électeurs n'ont pas été au rendez-vous. Entre la conjoncture défavorable de l'épidémie de Covid-19 et la désillusion d'une partie des citoyens, franceinfo tente de comprendre pourquoi ce phénomène de l'abstention bat un nouveau record. >> Suivez en direct toutes les réactions et tous les résultats des élections régionales et départementales Le contexte de la crise sanitaire L'abstention "abyssale" est "en partie liée à la situation sanitaire", a estimé Gabriel Attal, le porte-parole du gouvernement, dimanche, après l'annonce des résultats. Les courbes épidémiques sont pourtant à la baisse depuis plusieurs semaines, mais le souvenir des élections municipales 2020 reste vivace. Le premier tour des municipales s'était déroulé le 15 mars en pleine première vague de l'épidémie et de nombreux élus avaient été contaminés. Certains maires ont même payé de leur vie la tenue de ce scrutin. Pour les régionales, la campagne de vaccination a permis de sécuriser les assesseurs des bureaux de vote, mais la peur du virus reste présente, notamment chez les électeurs les plus fragiles. "Ce n'est pas évident de mobiliser notre électorat parmi les personnes âgées", a constaté pendant la campagne Ourida Allali, candidate UDI aux départementales sur le canton de Bobigny Seine-Saint-Denis. "Ces élections ont été reportées plusieurs fois et les Français n'avaient pas la tête à se pencher sur leurs représentants régionaux et départementaux", confirme Martial Foucault, directeur du Centre de recherches politiques de Sciences Po Cevipof. "On ne sort pas d'une telle période de confinements et de couvre-feux en se mettant dans un bain de jouvence électoral." Martial Foucault, directeur du Centre de recherches politiques de Sciences Poà franceinfo Entre le masque, la distanciation sociale et les mesures de couvre-feu, la campagne des candidats s'est parfois résumée à une simple distribution de tracts. "Il y a eu une invisibilité de cette élection. Les candidats ont été autorisés à faire campagne avec des réunions publiques à partir du 9 juin, donc c'est un temps trop court", estime Martial Foucault. "Avec toutes les mesures, c'est difficile. On est dans une situation où le débat est un peu atrophié", confirme Florent Lacaille-Albiges, candidat LFI aux départementales sur le canton de Bobigny. Une élection difficile à lire Il est en temps normal déjà ardu de mobiliser les électeurs sur des élections départementales ou régionales en comparaison d'une présidentielle. Mais les candidats n'ont pas été aidés par le contexte politique parfois difficile à comprendre. Prenons l'exemple des alliances à gauche parfois le Parti communiste a rejoint une liste commune avec La France insoumise, comme sur la liste de Clémentine Autain en Ile-de-France, parfois il s'est rapproché du PS ou des écologistes, comme dans le Grand Est. Parfois, les alliances varient même au sein d'un territoire entre les départementales et les régionales. Même chose du côté de LREM, qui peut aussi bien tendre la main aux listes socialistes, comme en Bretagne, ou aux listes de droite, comme en Paca, où la majorité présidentielle a même rejoint la liste du LR Renaud Muselier. Difficile de s'y retrouver, notamment pour les jeunes électeurs qui débarquent sur le marché démocratique. "Cela fait seulement quelques jours que je sais qu'il faut aller voter, du coup je ne me suis pas assez renseignée sur les candidats, sur ce qu'ils proposent, je ne me sens pas assez légitime", explique à franceinfo Lucy, une jeune abstentionniste de 23 ans. Même si une partie des forces politiques a tenté de nationaliser la campagne à un an de la présidentielle, notamment en évoquant le thème de la sécurité, les enjeux de ce double scrutin ne sont pas apparus clairs pour tous les électeurs. "Cela ne permet pas de mobiliser un électorat qui a quand même compris que les régions et les départements ne géraient pas la police nationale", analyse Olivier Rouquan, chercheur associé au Centre d'études et de recherches de sciences administratives et politiques. Il y a parfois également une confusion entre les deux élections. "Est-ce que c'était une bonne idée de combiner ces élections le même jour ?", s'interroge ainsi Martial Foucault. "Je ne vois pas à quoi ça sert un conseil régional ou départemental", confie Steven, 18 ans. Par ailleurs, le vote sanction utilisé parfois dans ce type d'élections intermédiaires ne pousse pas à la mobilisation puisque la majorité présidentielle ne gouverne aucune région. Une tendance générale à la démobilisation Les élections locales ne passionnent pas les foules. Le sentiment d'un scrutin qui ne va rien changer à la vie des Français est de plus en plus répandu. "Je ne vois pas trop l'utilité du vote dans ma situation. Peu importe le candidat pour qui je vote, ça ne va pas changer les choses", explique Robby, 22 ans. Les Français interrogés par les médias comme par les instituts de sondage témoignent d'un désintérêt grandissant vis-à -vis de la politique. "La droite, les communistes… ça ne change rien. Ça fait trente ans que je suis là et je suis écœuré par la politique. Du coup, je ne vote plus", ajoute Kader, 56 ans, habitant de Bobigny. "Il y a l'approfondissement d'un décrochage, d'une fracture politique, qui est de plus en plus marqué par un désintéressement, une méfiance envers le personnel politique, analyse le politologue Olivier Rouquan. On a un approfondissement de la crise de la représentation, nous arrivons quand même à un signe alarmant pour la démocratie." Interogés par Ipsos/Sopra Steria, les électeurs confirment ce sentiment. Selon 39% des sondés, "ces élections ne changeront rien à leur vie". Selon 23% d'entre eux, il s'agit de manifester "le mécontentement à l'égard des hommes politiques en général". Enfin "aucune liste ou candidat" ne plaît à 22% des personnes questionnées. La baisse du nombre de candidats aux élections départementales peut également être considérée comme un symptôme de ce désintérêt croissant. A l'échelle nationale, il y a 12% de binômes en moins par rapport à 2015. En Haute-Loire par exemple, pas moins de cinq cantons sur 19 se retrouvent avec un seul binôme candidat. Dans ces territoires, les électeurs n'ont donc même plus le choix. Une situation qui ne pousse pas à la mobilisation. "Il y a la confirmation d'un essoufflement démocratique, estime Martial Foucault. La séquence avec le mouvement des 'gilets jaunes' et le grand débat a montré qu'on était arrivé à la fin d'un cycle de démocratie électoral, avec ce modèle qui considère que les électeurs s'expriment uniquement par les urnes. Ce modèle ne peut plus suffire à faire vivre la démocratie." Des couacs en série Des dysfonctionnements ont marqué le vote lors de ce premier tour. Les électeurs marseillais les plus matinaux ont parfois eu la mauvaise surprise de découvrir que leurs bureaux n'avaient pas ouvert, faute d'assesseurs pour les tenir. A Cousolre Nord, le bureau de vote a bien ouvert, mais les bulletins de vote de la liste de gauche emmenée par l'écologiste Karima Delli étaient absents. Le leader de La France insoumise, Jean-Luc Mélenchon, a réclamé "une commission d'enquête sur les conditions dans lesquelles s'est déroulé le vote". Plus tôt dans la campagne, des plis électoraux ont parfois été retrouvés dans la nature, selon France 3 Hauts-de-France. L'entreprise privée Adrexo, chargée de la distribution de la propagande électorale dans sept régions, aurait eu des difficultés pour assurer sa mission. Cela concerne donc potentiellement 22 millions d'électeurs. France 2 a ainsi recensé une vingtaine d’endroits où les courriers ont parfois été mal distribués, voire jetés à la poubelle. Résultat selon plusieurs élus, des personnes n'ont pas eu accès aux professions de foi des candidats. Sur Twitter, le député LFI Adrien Quatennens a interpellé le gouvernement à ce sujet "Deux élections ont lieu dimanche. Enormément de Français ne sont pas au courant. Et pour cause, le matériel électoral n’arrive pas ou incomplet ou distribué de façon anarchique par le prestataire." Ça se sont les professions de foi stockées dans le local de l'entreprise Adrexo de la Flèche. Véritable scandale que l'état se soit déchargé d'une mission d'intérêt générale sur une société privée incapable de distribuer la propagande électorale. Regionale2021 departementales — Isabelle Sévère isasevere June 16, 2021 Interrogé au Sénat sur ces couacs de campagne, le ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin, a annoncé que le marché public allait être remis en cause après ces élections. Mais pour ce double scrutin, le mal est déjà fait. Selon Ipsos/Sopra Steria, il existe ainsi une méconnaissance massive des candidats de la part des électeurs.
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